Niépce correspondance et papiers
1044 C ORRESPONDANCE ET PAPIERS Total 3900 90 // D’autre part 3900 90 et effets mobiliers. Total des objets ci-dessus prisés sauf erreurs et omissions de calcul trois mille neuf cents francs quatre vingt dix centimes cy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3900 90 Déclarations des dettes actives et passives. Dettes actives. Madame veuve Niepce et Monsieur son fils interpellés de déclarer ce qui pou[v]ait être dû aux dites succession et com- munauté, ils ont répondu qu’ils ne savaient pas qu’il leur fut rien dû autre que le restant du prix de vente faite il y a plu- sieurs années de leur domaine de Colombey, de Saint Loup de Varennes, le tout s’élevant à la somme de trente cinq mille francs, observant néanmoins que les ventes faites, ne sont que des biens anciens à feu M r . Niépce père 1 cy . . . . .35000 f. Et enfin une somme de vingt sept mille francs qui leur est dû sous parole verbale par M r . Niepce Saint Victor 2 leur cousin propriétaire demeurant à Saint-Cyr . . . . . . . . . . 27000 Total des dettes actives, sauf erreur et omission, soixante deux mille francs cy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62000 f. Dettes passives. Egalement interpellés de déclarer quelles étaient les sommes qui pouvaient être dues par les dites succession et communau- té ils ont annoncé que les dettes ci-après désignées étaient à leur parfaite connaissance. 1° A M.M. Durand et Desvignes une somme de trente quatre mille francs productible d’intérêt suivant obligation reçue M e . Carville notaire à Lyon le vingt octobre mil huit cent dix neuf enregistrée cy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34000 1833 1839 1 De l’été 1833 jusqu’à l’automne 1839 1. On l’a vu, la vente du domaine de Colombey avait été réalisée pour 88.858 francs (v.471).Quant au domaine situé au lieu du Gras « connu sous le nom du domaine de St. Loup » (v. 469), il ne restait plus que la moitié des 52 hectares qu’il comptait encore en 1828 (v. App. XXIII). 2. Augustin Laurent, l’« ingrat parent » (v. 529). C’est pour l’obliger que Nicéphore et Claude, eux-mêmes gra- vement embarrassés financièrement, avaient effectué l’emprunt n° 2, mentionné plus bas.
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