Niépce correspondance et papiers

1060 C ORRESPONDANCE ET PAPIERS Celle de dix mille francs, de M r . Jean Baptiste Jacques Claude Guillaume Dorlié marquis de S t . Innocent, propriétaire rentier demeurant à Lyon rue du Pérat n° 14 ici présent et acceptant. Celle de dix mille francs, de M r . Augustin Barthélémy Petit, propriétaire rentier demeurant en la commune d’Albigny arrondissement de Lyon, ici présent et acceptant. + Celle de neuf mille francs, de M r . Louis Gauthier, négo- ciant demeurant à Lyon. Celle de douze mille francs de M r . François Burel négo- ciant demeurant à Lyon rue Coustou n° 5, ici présent & accep- tant. Celle de quatre mille francs de D lle . Pierrette Bonnardet, célibataire majeure ourdisseuse demeurant à Lyon rue du Griffon, ici présente et acceptant. Celle de quatre mille francs, des D lles . Marie Mary, Anne Mary et Emilie Mary, sœurs, célibataires majeures devideuses demeurant ensemble rue Puits Guillot n° 1 toutes trois ici pré- sentes, et acceptant conjointement & solidairement; M r . Granjon en sa qualité de mandataire & en vertu de ses pouvoirs, rend et constitue M r . Niépce &Madame // son épouse débiteurs solidaires de la dite somme de cinquante neuf mille francs, avec renonciation au bénéfice de toutes divisions et dis- cussions de biens, il les oblige conjointement & solidairement l’un d’eux seul pour le tout, au remboursement de cette même somme de cinquante neuf mille francs, le quinze janvier mil huit cent quarante, avec intérêts à partir d’aujourd’hui à raison de cinq pour cent par année sans aucune retenue ni déduction, exigibles d’abord le quinze juillet prochain pour ceux qui seront d’abord échus jusqu’alors et ensuite par sémestre, les quinze janvier & quinze juillet, jusqu’au remboursement effec- tif des capitaux, savoir : à M r . de S t . Innocent les dix mille francs par lui prêtés, à M r . Petit les dix mille francs par lui fournis, + à M r . Gauthier les neuf mille francs qu’il a prêtés, à M r . Burel les douze mille francs par lui prêtés, à M lle . Bonnardet les quatre mille francs qu’elle a prêtés, à M lles . Mary les quatre mille francs par elles fournis de leurs deniers communs. Le transport, l’ordre et la cession de la créance des D lles . Mary pourront être valablement faits par l’une d’elle indistinctement, il en sera de même de la quittance et de la mainlevée qui devront être données lors du remboursement, 1833 18393 83 De l’été 1833 jusqu’à l’automne 1839 1. Le 4 novembre 1835, la veuve Edant transportera à François Richard, fabricant de bas à Lyon, trois des dix mille francs constituant en principal le montant de cette obligation (A.D.R. 3 E 12624). 2. Suivent évidemment les paraphes de tous les signataires de l’acte. + Celle de dix mille francs à M me . Jeanne Marie Regny, veuve du S r . Jean Jacques Edant, rentière demeurant à Lyon quai S t . Benoît n° 46, ici présente et acceptant 1 . Ce renvoi approuvé 2 . + à Mad. veuve Edant, les dix mille francs par elle prêtés, Ce renvoi approuvé.