Niépce correspondance et papiers
12 48 C ORRESPONDANCE ET PAPIERS Supplément public est quelque peu bizarre, et qu’il n’aime pas qu’on l’occupe trop longtemps de la même chose. Nous avons donc cru prudent dans l’intérêt même de la cause que nous défen- dons de nous abstenir de publier votre lettre. A propos de M. Niépce de St Victor veuillez donc me dire le degré de parenté qu’il avec vous ; il prend la qualité de neveu de votre père, est-ce bien cela ? Donnez moi, je vous prie, sa filiation en remontant jusqu’à votre grand père. Veuillez présenter mes hommages à Madame Niépce, et agréez, vous, Monsieur, l’as- surance de mes sentiments les plus distingués. Fouque P.S. Vous saurez que les n os contenant nos lettres ont été enlevés jusqu’au dernier, et qu’il m’a été impossible de m’en procurer un n o dont j’avais besoin : c’est bon signe, et cela prouve que l’on s’intéresse à ce qui nous occupe si vivement. S. 15 Lettre (Coll. J.N.). Inédit Chalon-sur-Saône, 25 janvier 1867. Fouque à Isidore. Chalon s/S, le 25 janvier 1867 Monsieur, Deux mots seulement pour vous accuser réception de vos sept numéros du journal La Lumière et des deux numéros du Pays et de La Patrie, que vous avez bien voulu m’envoyer ; et aussi votre lettre du 22 courant que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire. Soyez persuadé que je tirerai le meilleur parti possible et des renseignements conte- nus dans votre lettre, et des précieuses lettres contenues dans le journal La Lumière. Veuillez de nouveau, Monsieur, agréer l’assurance de ma parfaire considération. Fouque P.S. Ce n’est que ce matin que l’on m’a apporté votre paquet, Monsieur, S. 16 Lettre (Coll. J.N.). Inédit Chalon-sur-Saône, 25 février 1867. Fouque à Isidore. Chalon s/S, 25 février 1867 Monsieur, Je travaille sans relâche à la composition de mon livre sur Mr votre père. La matière de ce volume est divisée en trois parties 1 ; la première est terminée ; la deuxième est très avancée. Mais à l’égard de cette dernière je viens d’éprouver une bien grande déception qui me démoralise complètement, et qui m’occasionne un grand embarras. Je viens de terminer la lecture et le dépouillement des nombreuses lettres que vous avez bien voulu me confier ; et j’ai été stupéfait du petit nombre d’entre elles où il est question des 1. En définitive, il en comptera quatre.
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