Niépce correspondance et papiers
12 7 6 C ORRESPONDANCE ET PAPIERS Supplément rai réussi : dans tous les cas, il faut ce portrait quelque défectueux qu’il puisse être sous le rapport artistique ; on rédigera une note pour atténuer ce déffaut ; voilà tout ce qu’on peut faire ; // mais il faut que je le reçoive promptement. [...] S. 41 Lettre (Coll. J.N.). Inédit Chalon-sur-Saône, 10 juillet 1867. Fouque à Isidore. Chalon s/S, 10 juillet 67 Cher Monsieur Niépce, Deux mots seulement pour vous informer que l’on compose les deux dernières feuilles de mon livre, et que les ouvriers m’ont prévenu que leur besogne sera terminée samedi, comme ils me l’avaient annoncé. Comme vous le voyez, je serai prêt avant que le portrait ne soit fait ; je me désespère de ne pas le voir arriver. Veuillez, je vous en supplie, écrire à Paris au reçu de ces lignes, afin que l’on nous envoie tout de suite et sans autre retard la planche que je devais rece- voir les premiers de juillet : nous voilà au 10 et rien. Je compte sur votre obligeance pour écrire immédiatement. Veuillez, cher Monsieur, croire à mon dévouement. Fouque S. 42 Extrait de lettre (Coll. M.B.). Inédit Givry, 13 juillet 1867. Isidore à Eugène. Givry 13 juillet 67 Je t’ai écrit ces jours passés, mon cher Eugène, pour que tu puisses voir Abel, et le prier d’activer le plus possible, le travail de Mr. Garnier, attendu que l’ouvrage de Mr. Fouques était très avancé, et qu’il voulait qu’il parût du 15 au 20 c t . Une nouvelle lettre de lui, me détermine à te renouveller cette visite à Abel : voici ce que me dit Mr. Fouques, dont je transcris la missive. Cher Monsieur Niépce, “Deux mots seulement pour vous informer que l’on compose les deux dernières feuilles de mon livre, et que les ouvriers m’ont prévenu que leur besogne sera terminée samedi 13 c t , comme ils me l’avaient annoncé. Comme vous le voyez, je serai prêt avant que le portrait ne soit fait ; je me désespère de // ne pas le voir arriver. Veuillez, je vous en supplie, écrire à Paris au reçu de ces lignes, afin que l’on nous envoie tout de suite et sans autre retard la planche que je devais recevoir les premiers de juillet : nous voilà au 10 et rien. Je compte sur votre obligeance pour écrire immédiatement”. Veuillez croire &c. Chalon s/S. 10 juillet 1867
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