Niépce correspondance et papiers
N IEPCE 12 81 S. 4 8 Veuillez, cher Monsieur, croire à mes sentiments bien dévoués. Fouque P.S. Le hasard (toujours ce brave dieu) veut que la date de 1785 appliquée à la mort de Claude se trouve à la page 20 de mon livre, que je réimprime en ce moment, à cause des erreurs concernant la famille Dubard de Ternant, et que je pourrai corriger cette date 1 ; sans cela je ne vous aurais pas ennuyé. S. 47 Extrait de lettre (Coll. M.B.). Inédit Givry, 23 juillet 1867. Isidore à Eugène. Givry près l’Orbize, 23 juillet 1867 Mon cher Eugène, Une lettre que j’ai reçue de Mr. Fouques en date du 20 c t m’annonce qu’il a reçu de Mr toi, une lettre par laquelle tu lui dis que tu es allé plusieurs fois chez Mr. Garnier qui est absent de Paris ; ce pauvre Mr. Fouques est on ne peut plus contrarié, de toutes ces len- teurs, et je suis comme lui, à cet égard. Son livre est tout imprimé, et il n’attend plus que la planche, pour le livrer au public ; il désirerait qu’on joignît à la planche, 25 ou 30 gravures, et il me prie instamment de te dire, de voir de nouveau Abel, et Mr. Garnier, qui doit être de retour, de prier Abel de presser ce dernier, et de demander la planche gravée avec 25 ou 30 épreuves, dans le plus bref délai possible, attendu que ces retards // vraiment trop prolongés, portent tort à la vente de cet très-intéressant ouvrage ! Vois donc de nouveau ces Messieurs, mon cher Eugène, emploie toute ton éloquence pour les déterminer à l’envoi de la planche et des épreuves gravées. [...] Je te renouvelle mon cher ami, la prière de Mr. Fouques ; on m’adressera le tout, et le lui porterai moi-même, mais de grâce, qu’on y mette un peu plus d’activité, et de bon vou- loir ! Il ne faut pas un mois, pour graver une planche de cette dimension ! [...] S. 48 Lettre (Coll. J.N.). Inédit S.l., 26 juillet 1867. Fouque à Isidore. 26 juillet 67 Cher Monsieur Niépce Tout est enfin fini ! du moins quant à l’impression, on plie les feuilles et on va les brocher. Quant au portrait, il est fort bien réussi, et il ferait très-bien mon affaire s’il ne coû- . 1. Hasard malheureux au contraire, puisqu’il poussera Fouque à glisser dans son livre une erreur de plus, en écrivant que le père de Nicéphore mourut « vers 1795 » (op. cit. p. 20).
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