Niépce correspondance et papiers
N IEPCE 277 re, au moyen d’un collier de bois. Ces deux plateformes qu’on peut considérer comme les ponts du vaisseau, sont unies entre elles par les colonnes ab.ab.ab.ab . Le premier pont est maintenu sur la table, avec deux traverses qu’on voit en UV, et qui sont destinées à donner plus de fixité à la machine. .17. .Le long tuyau à double coude ST, ou g.g.g., communique d’une part, au fond supérieur du cylindre a.a.a.a, & de l’autre au fond inférieur du grand vase cylindrique E.F.G.H, dans lequel on met de l’eau. Ce vase est fait de manière que l’eau, quelque agitée qu’elle soit, ne puisse s’echapper au dehors 1 . .18. .La grande roue S.S.S, a deux jantes concentriques. Elle est munie de six chaines, & tient à la petite roue tt, qui est double, par la chaine 18. Ces trois roues très-mobiles, sont prises aux montans 12.12.19.19, et à la traverse 18.18. Leur objet est de mouvoir le piston du cylindre a.a.a.a : voyez plan 3 me . .19. .Dans le pont XY, est une ouverture par laquelle passe la cheminée de la lanterne P.P. dont q est la porte. Sur le même pont on voit la boîte r.r, destinée à maintenir en m, l’orifice du conduit m.m.m. Elle renferme une partie du mécanisme de la soupape de ce conduit, & de celle marquée n, du cylindre KK, laquelle est double. .20. .Le soufflet Z, soutenu par le support coudé ac.ac.ac , est employé à régler le mou- vement de la machine, & a deux soupapes, une ad, pour l’aspiration, & l’autre 26, qui ne s’ouvre que lorsque l’expiration s’est presque entierement faite par la coulisse af. .21. .Le volant xxx, porte à son axe un rochet adapté à un tambour mobile sur lequel se croise la chaine 32.32, qui tient par ses extrémités à deux petits montans 32.32, fixés 1. Indépendant du moteur, ce « vase » était fixé au banc d’essai. 185 1804 1815 Institut National de la Propriété Industrielle.
RkJQdWJsaXNoZXIy NDY2MA==