Niépce correspondance et papiers
280 C ORRESPONDANCE ET PAPIERS à la manivelle b1.b1, de la coulisse (.Voyez plan 1 er . figure 2 me .). et au treuil cde, fig. 7 me . sur lequel est fixée la broche courbe 1.2, même figure. .29. La seconde tige des manivelles est prise à un autre fléau 37.37, entre son point d’appui & l’extrémité 37, sur laquelle repose le support 37.38, du contrepoids 38. La tringle 36.36, articulée à l’autre extrémité de ce fléau, et à la fourchette supérieure 35, du bras 35.35, sert à mouvoir l’aile inférieure du soufflet ou régulateur, qui se trouve en équilibre avec le contrepoids 38. Le levier 26.26, auquel la soupape 26, est attachée, tient à la petite tige 27.27, chargée d’un poids assez lourd pour résister à la pression intérieure que la sou- pape eprouve de la part de l’air. Cette tige pourvue d’une clavette 27, passe à travers le bras 35.35. Lorsque l’expiration est sur le point de finir, la clavette frappée par ce même bras, ouvre la soupape, et le volant acquiert ainsi le surcroît de force dont il a besoin pour désar- mer le ressort du soufflet cylindrique. .30. Le coude horisontal de l’une des tiges quarrées, n°. 25 est percé d’un trou dans lequel s’engage le crampon de la pièce qui porte la chaine du tambour, n°. 21. Dès que la détente part, cette tige quarrée qu’elle tenoit en arrêt, entraîne le crampon, et fait tourner le volant, d’où résultent les différens effets qu’il doit produire. .15. Mouvement du soufflet cylindrique y.y.y. .31. Le mouvement de ce soufflet est très simple. La tige fixée à son fond mobile, prend par une fourchette g3. n°. 14, à l’extrémité du coude vertical de la seconde tige quarrée, n°. 25. Cette tige étant armée, le soufflet est plein d’air ; mais l’expiration a lieu aussitôt que le crampon du coude de l’autre tige quarrée, vient frapper la détente. Pour mon frère et pour moi ./. J C Niepce .Plan troizième. .Perspective de l’avant & d’une partie de l’arrière de la machine. .16. .Description .1°. de la chape de la roue S.S.S. .32. Comme ce plan ne fait que présenter sous un autre point de vue, des objets assez connus pour la plupart ; on se contentera de décrire la chape de la grande roue S.S.S., le mécanisme du bélier 14., & celui de la soupape latérale n, du cylindre KK. La chape de la grande roue, est composée d’une pièce a4.b4.c4, à double coude, ayant deux pattes a4.c4, percées pour recevoir les vis des montans 19.19. Deux ecrous d4.e4, en forme de vase, la serrent, et empêchent ainsi l’ecartement qu’occasionneroit la pression de l’axe de cette roue, contre les crapaudines. Au milieu de la pièce on a pratiqué une petite ouverture b4, qui donne entrée à la tringle 20.20 : voyez plan 2 me . 1804 1815 Du début de l’Empire jusqu’à la fin des Cent jours
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