Niépce correspondance et papiers
N IEPCE 291 1. A notre connaissance, les travaux des Niépce n’ont fait l’objet d’aucun article dans le Journal des Mines. 2. Au 42 rue du Bac (v. 186n). 3. Publ.P.V.S.A.t.III (1804-1807),p.465.Egalement in M.C.S.M.P.,1 er semestre 1807,p.146.A d’insignifiants détails près, le texte en est identique. Le premier, Isidore Niépce a rappelé l’existence de ce rapport (I.N. p. 12), dont quelques lignes seront reproduites par Fouque (V.F. pp. 34-35). 4. Sic. On trouve bien « Niepce » in M.C.S.M.P. 191 1804 1815 Si vous aviez quelque chose qui put etre publié et qui ne dut pas rester dans le secret, nous l’annoncerions dans le Journal des Mines, afin de le faire connoitre à une infinité d’exploitans des mines et usines auxquels votre invention pou- roit etre utile 1 . Messieurs Messieurs Niepce Hotel de Boulogne vis a vis le passage des Jacobins rue du Bac Paris 2 192 Procès-verbal 3 Paris, 15 décembre 1806. Académie des Sciences. Rapport de Lazare Carnot sur le pyréolophore. [...] SEANCE DU LUNDI 15 DECEMBRE 1806 50 A laquelle ont assisté MM. Bossut, Burckhard [sic], Huzard, Lassus, Cuvier, Lacroix, Bosc, Parmentier, Deyeux, Olivier, Carnot, Duhamel, Thouin, Tenon, Sage, Lamarck, La Billardière, Bouvard, Lagrange, Haüy, Desfontaines, Bougainville, Lefèvre-Gineau, Buache, Chaptal, Monge, Sabatier, Laplace, Fourcroy, Lalande, Richard, Legendre, Delambre, Guyton, Lelièvre, Jussieu, Messier, Berthollet, Tessier, Lalande neveu, Silvestre, Charles, Vauquelin, Rochon, Desmarest, Hallé, Portal, Lacepède. [...] Au nom d’une Commission, M. Carnot lit le rapport suivant sur la machine appelée Pyréolophore, par M. Lenieps [Niepce ?] 4 : «C’est toujours une chose précieuse que la découverte d’un nouveau principe moteur dans la nature, lorsqu’on peut par- venir à en régulariser les effets et le faire servir à ménager l’action des hommes et des animaux. «Les anciens ne connoissoient que peu de ces principes moteurs, ou du moins ils n’employoient guères comme forces mouvantes que les êtres vivans dont nous venons de parler, les poids, les chûtes et courans d’eau, et enfin l’action du vent. Ces forces étant toutes trouvées et déve- loppées par la nature elle-même, il ne fal- loit pour les appliquer aux besoins ordi- naires, que la connoissance expérimentale
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