Niépce correspondance et papiers
N IEPCE 609 .Pris dans notre sac 60 f. .17. 8 bre . 1819. Donné à Lafoy 52 f. tant en or qu’en argent. .[...] pour 32. f. d’une part et 6 de l’autre. Il lui etait du 18. f. Il lui revenait 4. fr. mais elle s’est contentée de 40 s . Notre mariage est du le 4 fructidor 1 1794. 335 Déclaration (A.D.R. 3 E 12192 20/10/1819). Inédit Chalon-sur-Saône, 4 octobre 1819. MM. Boysset, Perraut, Cheminot et Girardin témoignent en faveur de Nicéphore. N° 7420. L’an mil huit cent dix neuf le quatre octobre, par devant Claude Antoine Lenud père notaire royal certifficateur & son collègue demaurans à Chalon sur Saône soussignés. Ont comparu MM. Jean Guillaume Boysset docteur en médecine, chevalier de la Légion d’Honneur, Claude Louis Perraut 2 & Jean François Cheminot 3 avoués & Claude Girardin 4 propriétaire tous demeurans en cette ville. Lesquels, sur l’invitation de M r . Joseph Nicéphore Niépce, propriétaire demeurant en cette ville ; et dans l’intention de lui faciliter, ainsi qu’à M r . Joseph Claude Niépce son frère, l’emprunt que tous deux se proposent de faire ; ont volontairement & individuellement déclaré avoir parfaitement connu M r . Claude Niépce leur père qui était receveur des consi- gnations audit Chalon & Mad. Claudine Barraut son épouse et leur mère ; savoir de même que ledit S r . Claude Niépce est décédé dans le cours de l’année mil sept cent quatre vingt six 5 , et Mad. Barraut sa veuve, dans le cours de l’année mil huit cent quatre. 1. Confusion avec août. Le mariage de Nicéphore avait eu lieu le 4 août 1794, mais qui correspondait au 17 thermidor an II. 2. Le « charmant garçon » (v. 247). 3. L’avoué Jean-Baptiste François Cheminot, né à Chalon en 1771. Aisé,marié, père d’un enfant en 1815, il habi- tait alors rue Saint-Georges (A.M.C. 3H1/2). 4. Peut-être le mari de Madame, qui habitait en face de chez les Niépce (v. 258). Un Claude Girardin, greffier de la justice de paix, marié, père de trois filles, vendit en 1809 une maison sise rue Saint-Georges (R.V. n° 377). En 1836, on parlait encore de la « maison Girardin » (ibid. n° 378). Nous ignorons s’il s’agissait du même. Eu égard à la circonstance, déjà soutenu par un médecin et deux avoués, Nicéphore a pu juger opportune la présence d’un ancien greffier. 5. Erreur (v. 9). 335 1815 1824 1 8
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