Niépce correspondance et papiers
N IEPCE 991 [N.s.m.] .Répondu le 24 juin 1831 1 . .Ecrit au même le 8. 9 bre . idem 2 ./. .Ecrit encore le 8. X bre . 1831 3 . 533 Facture (A.S.R.) 4 Paris, 23 mai 1831. La manufacture Vauquelin à Nicéphore. A la manufacture de Produits Chimiques et de Réactifs de N.L. V AUQUELIN 5 , Membre de l’Institut, Directeur du Collège de Pharmacie de Paris Rue de Colombier n o 23, enceinte de l’Abbaye Saint Germain. Q UESNEVILLE 6 , Pharmacien, Manufacturier, Successeur 7 . Paris le 23 mai 1831. Doit Mr 8 2 gros* 9 acide suberique* . . . . . . . . . .6 Un bocal . . . . . . . . . . . . . . . . . . .10 6 10 Reçu Pour M. Quesneville Hendard 10 1. V. 535. 2. V. 537. 3. Ce dernier document est inconnu.Toutes ces notes sont de la main de Nicéphore. 4. Publ. in U (doc. 117). 5. Vauquelin était mort depuis dix-huit mois. C’est apparemment en 1818 que Nicéphore était entré en contact avec lui (v. 327). 6. « Jean-Baptiste Quesneville, né à Incarville (Eure), avait été inscrit comme élève à Paris, le 24 brumaire an XIII (15 novembre 1804) sous le n° 283.Alors âgé de 27 ans,il faisait précisément son stage chez Fourcroy,Vauquelin et Lemercier,rue du Colombier [v.note ci-après].Il avait auparavant,été inscrit chez Mesaize,à Rouen,du 11 ven- tôse an V (1 er mars 1797) au 26 thermidor an VII (13 août 1799) et du 10 brumaire an IX (31 octobre 1800) au 3 germinal an XII (25 mars 1804),ce qui explique ses relations avec Vauquelin,qui sortait de la même officine.Il est reçu maître à Paris,le 21 décembre 1810;mais nous n’avons trouvé aucune trace de son activité dans l’ Almanach impérial , puis royal , de 1810 à 1819, ni dans l’ Almanach du Commerce avant 1823 [...]. L’ Almanach du Commerce mentionne les noms de Quesneville et Hendard, 23, rue du Colombier. Ce même almanach pour 1826 donne le seul nomde Quesneville comme préparateur d’acides,23,rue du Colombier.Il est demêmementionné seul dans les almanachs de 1827 et 1830 [...] » (M. BOU. p. 250). Vauquelin meurt le 14 novembre 1829 et l’ Almanach des 25.000 Adresses de 1833 mentionne toujours:« Quesneville,pharm.fabrique de produits chimiques et de réactifs, succ.de M.Vauquelin de l’Institut — auteur de plusieurs Mémoires scientifiques,— r.du Colombier, 23 ». 7. Cette en-tête figurait telle quelle sur les factures de la manufacture,en 1826 déjà (CH.C.).M.Bouvet a signalé l’existence d’une autre facture du même genre, datée du 23 octobre 1832, dans le ms. 106 de la Faculté de Pharmacie de Paris (M. BOU. p. 251). La rue du Colombier (et non du Vieux-Colombier comme l’a écrit Bouvet), n’était autre que la portion de la rue Jacob comprise entre son commencement, rue de Seine, et la rue Bonaparte. « Rue du Colombier n° 23 », se trouvaient auparavant les « Laboratoires de Chimie de Fourcroy,Vauquelin et Lemercier ». Après la mort de Fourcroy, le 16 décembre 1809, l’« Ancienne Maison de Fourcroy,Vauquelin et Lemercier », dont « la situation était loin d’être brillante » (M. BOU. p. 249), était deve- nue « Vauquelin et Cie » (ALM.C. 1811-1817). 8. Seule l’appartenance de ce document au lot de pièces remis par Isidore à Hamel, autorise à admettre que cette facture a bien été adressée à Nicéphore. 9. Soit 7,64 g. 10. Et non Ondart. 533 1830 1833
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